samedi 26 juillet 2008

vendredi 25 juillet 2008

Buenos Aires




Des dizaines de qualificatifs viennent en tête lorsqu´ilagit de décrire Buenos Aires. La capitale Argentine est une ville de mélanges.

Métropole aux accents Latino-Américains, dans un cadre ''Européen''.
Une architecture ''Parisienne'' jusque dans ses places, ses cafés, ses terrasses.
Mais un charme tout à fait Argentin cependant, de cette diversité.

Un rythme bien particulier la nuit prend une place essentielle dans la vie du spectacle, du floklore, du tango...

San Telmo, Recoleta, la Boca, Palermo, Almagro... dans chacun de ces noms un style, une indentité.

Et de tous ces barios, un à un regroupés, une villeest formée :

Buenos Aires.

Barbudo

mardi 22 juillet 2008

lundi 21 juillet 2008

Argentina

Nous voilà donc en Argentine, après bientôt 2 mois de voyage, nous attaquons la découverte de ce grand pays.

Un pays mélangé, dans ses paysages d´abord, des étendues désertiques du nord aux terres plus chaudes du centre pour finir au sud, dans l´immense, la mythique Patagonie.

Un pays métissé dans sa population, avec, dans les grands centres urbains surtout, des visages multicolores et familiers, une influence européenne incontestable.

Un pays diversifié enfin, dans sa culture, où pratiques ancestrales autochtones, culture latino américaine et europénne, cohabitent et fusionnent parfois, pour donner à l´Argentine, cette saveur bien particulière.

L´Argentine et ses villes, Salta, capitale de la province du nord, royaume des empanadas et du locro. Cordoba, au centre et ses nombreuses universités. Et maintenant la grande Buenos Aires, son architecture Hausmanienne, ses bistrots, cette atmosphère bien particulière délicieusement rythmée par des airs de Tango.

L´Argentine et ses personnages de légende, Ernesto Che Guevarra, Carlos Gardel, Evita Peron, Diego Maradonna...

L´Argentine et ses problèmes aussi, une crise politique sans précédent, une inflation galopante, une augmentation incessante des denrées alimentaires de base, un combat toujours présent pour les droits des minorités autochtones, mais une identité affirmée, qui permet encore à sa population d´aller de l´avant.

Pour nous, bientôt le sud, royaume des gauchos, des étendues immenses et du vent.
Une autre Argentine, plus sauvage nous attend...

Barbudo

vendredi 11 juillet 2008

mardi 8 juillet 2008

De la Bolivie au Chii

On a quitté La Paz. Après 3 semaines passées à apprendre de cette capitale Bolivienne, nous voilà repartis vers le sud. Le bus pour Oruro, puis le train, jusqu´à Uyuni, aux portes du Salar qui porte son nom, point de départ des 3 jours qui nous attendent dans le sud Lipez et qui nous enmenerons jusqu´au Chili.

Uyuni est une ville perdue au milieu de l´altipano, où le froid andin prend tout son ampleur et où les gens vivent essentiellement de 3 choses:

- le sel
- le quinoa
- le tourisme

Le sel: grâce au salar, étendue de 12000 km carré d´une profondeur de 7 m, faite de sel, de roches et de lithium. Du blanc, à perte de vue, beauté naturelle et source de revenu.

Le quinoa: apparanté à la famille des céréales, protéine végétale complète, qui a la particularité de ne pousser que sur l´altipano, à plus de 3500 m. Plante ancéstrale, cultivée déja par les populations pré-colombiennes.

Le tourisme: 68 agences de voyage proposent des tours dans le salar et le sud Lipez depuis Uyuni. La particularité et la beauté des lieux, en font une des destinations les plus prisées d´Amérique du sud.

Sans vraiment avoir le choix, nous allons faire partie de l´un de ces tours.
Départ a 10h30, pour 3 jours de 4x4 en compagnie de 4 autres persones et de notre chauffeur Bolivien. A bord, Amber et Katie des USA, Shajar, Israélien, Ronan, Ecossais, nous et Freddy notre pilote.

3 jours de beauté, de paysages aux couleurs incroyables, 3 jours de grands espaces, de froid extrême, de cohabitation dans des conditions assez rustiques. Les nuits à - 20 C, les heures interminables sur les chemins du désert andin, les 5026 m des geysers de Sol de Mañana n´ont pas réussis à saper notre enthousiasme. Du bonheur, plein les yeux. Nous arrivons à San Pedro de Atacama, fatigués mais contents.


Le Chili.

En quelques kilomètres, un autre monde. À peine la frontière passée, les choses n´ont plus rien à voir. La misère croisée jusque là n´est plus visible, et les sourires eux, sont plus présents. On se rend compte alors du poids immense des frontières.
D´un côté de cette ligne imaginaire on pleure, de l´autre côté, on rit.

Nous ne restons pas longtemps ici, trop toursitique, trop cher. Le volcan Licancabour nous regarde et mon envie de faire sa connaissance est grande mais malheureusement je marche toujours un peu de travers. Une autre fois...

Nous partons pour Salta en Argentine, la encore de nouvelles découvertes nous attendent.

Barbudo